En bref : • Sarectec, pionnier français de la réparation bas carbone après sinistre, réduit jusqu'à 40% les émissions carbone lors des travaux de réhabilitation. • Cette approche novatrice est confrontée à des défis d'approvisionnement en matériaux écologiques. • Face à l'intensification prévue des phénomènes climatiques extrêmes, la réparation bas carbone devient essentielle pour concilier reconstruction et responsabilité environnementale. |
SINISTRES. La réparation bas carbone représente une évolution majeure dans la gestion des sinistres.
Face à l’urgence climatique, Sarectec se positionne comme pionnier français dans la réparation bas carbone après sinistre. L’entreprise vient de dévoiler les résultats impressionnants de son offre spécialisée, permettant de réduire jusqu’à 40% les émissions carbone lors des travaux de réhabilitation post-sinistre. Cette approche novatrice se heurte néanmoins à des défis d’approvisionnement en matériaux écologiques.
Les phénomènes climatiques extrêmes comme inondations, sécheresses et tempêtes vont probablement s’intensifier dans les années à venir. Cette évolution inquiétante entraînera une augmentation des coûts d’assurance en raison de la multiplication des sinistres, ainsi qu’une hausse significative des émissions de carbone liées aux travaux de réparation nécessaires. La réparation bas carbone apparaît désormais comme une solution incontournable pour concilier reconstruction et responsabilité environnementale.

Je suis Jean Claude Comas, passionné de conseils assurance. J’ai toujours aimé démystifier les contrats, mais ce qui m’a marqué ? Une cliente a compris son contrat en dix minutes… et m’a invité à son mariage ! L’assurance, c’est aussi des rencontres improbables.